Cettenuit, jâai rĂȘvĂ© dâamour Dâun amour pur, Beau Doux Vrai Sans condition Sans restriction Sans transaction. Au rĂ©veil, mon cĆur lâa cherchĂ© Parmi les paillettes scintillantes de ce monde Ses plaisirs Ă©phĂ©mĂšres Ses lendemains amers, DĂ©serts Je me sentais vide Lasse, EcoeurĂ©e, DĂ©saimĂ©e. Alors, jâai repensĂ© Ă mon enfance Insouciante PĂ©tillante Innocente A
Paroles J'ai rĂȘvĂ© cette nuit mĂȘme Que tu me disais "je t'aime" J'ai besoin d'un amour tendre Viens, ne me fais plus attendre Oh dis-moi, oui toi Pourquoi, crois-moi Sans amour plus rien ne va Et j'ai tant besoin de toi J'ai rĂȘvĂ© gloire et fortune Je voulais t'offrir la lune Je n'ai plus la moindre chance Sans ton amour, ta prĂ©sence Oh dis-moi, oui toi Pourquoi, crois-moi Sans amour plus rien ne va Et j'ai tant besoin de toi Et dans ma solitude Au creux de mon ennui J'ai perdu l'habitude Reviens, je t'en supplie Si tu voyais ma dĂ©tresse Sans toi rien ne m'intĂ©resse Les jours et les nuits se traĂźnent Reviens-moi j'ai l'Ăąme en peine Oh dis-moi, oui toi Pourquoi, crois-moi Sans amour plus rien ne va Et j'ai tant besoin de toi J'ai rĂȘvĂ© cette nuit mĂȘme Que tu me disais "je t'aime" Dis-moi ce n'est pas un rĂȘve Avant que le jour se lĂšve Oh dis-moi, oui toi Pourquoi, crois-moi Sans amour plus rien ne va Et j'ai tant besoin de toi Oh, oh, oh oui, besoin de toi Oh, oh, oh oui besoin de toi Oh, mon chĂ©ri, besoin de toi
Ilenrobe ça de maniĂšre vague pour que jâaie lâimpression dâavoir Ă©tĂ© privilĂ©giĂ©. Il croit me faire plaisir comme sâil sâagissait dâune faveur exceptionnelle, que jâavais Ă©tĂ© invitĂ© Ă passer la soirĂ©e chez lui. Jâai rĂȘvĂ© de toi cette nuit Pour un peu il faudrait remercier dâavoir Ă©tĂ© Ă©lu pour servir de
Je t'ai revue, toi, en rĂȘve cette nuit, FraĂźche au milieu de fleurs toutes fanĂ©es, Comme au printemps de nos vertes annĂ©es ; Tes pas lĂ©gers ne faisaient aucun bruit. Tu Ă©tais lĂ comme au beau temps qui fuit, Grande et charmante en tes grĂąces innĂ©es, Avec ta voix qui fit mes destinĂ©es Partout, partout ce doux rĂȘve me suit. Oh ! rĂ©ponds-moi, que voulais-tu, jeune ombre ? Jours Ă©coulĂ©s dont je sais trop le nombre, Le temps a mis ses flots entre nous deux. Pourquoi montrer, Dieu qui daignez m'entendre, Aux cĆurs aimants, dans un sommeil si tendre, Les ĂȘtres chers que vous sĂ©parez d'eux ? Ăvariste Boulay-Paty.
Tuparles. Demain, c'est LE jour. Le jour oĂč je commence mes Ă©tudes en biochimie Ă l'Hamilton High School, Ă Los Angeles. Ma mĂšre s'inquiĂšte encore plus que moi. On a toujours Ă©tĂ© trĂšs proche toutes les deux. Avec mon pĂšre, on forme un vrai trio de choc. Enfant unique, mais pas pourri gĂątĂ©, on a tissĂ© un lien avec mes parents plus
PubliĂ© le 14 novembre 2012 dans Romantique Tout commence pendant la nuit, je me vois en train de me balader sur un pont au-dessus de la Garonne. Je suis accompagnĂ© par une fille que je connais et jâavoue que jâai des sentiments pour elle dans la vie rĂ©elle, je la tiens Ă cĂŽtĂ© de moi, il fait un temps magnifique, câest une superbe nuit dans la ville rose, câest une nuit dâ discutons et je me rappelle dans le rĂȘve que je sors avec elle depuis longtemps et que je lâai invitĂ© Ă venir revoir Toulouse avec â Ăa te plait ?Elle â Oui, le soir câest encore plus beau, merci de mâavoir amenĂ© ici, avec toi, mon â Tu me rends encore plus heureux⊠Jâai ⊠quelque chose pour toiâŠJe sors un paquet de mon manteau Elle â Quâest-ce que câest ? me demanda-t-elle avec un â Pour notre premiĂšre annĂ©e, câest toujours la plus le paquet, et lui montre un superbe collier, je lui mets autour de son joli â Mon Dieu Mathieu !! Il est magnifique !!Elle mâembrasse, et mon rĂȘve sâarrĂȘte sur un clair de Lune plus Ă©tincelant que jamais⊠Je me rĂ©veille. RĂȘvĂ© le 14 novembre 2012 Par RĂ©voman
Jai rĂȘvĂ© de toi cette nuit : Tu te pĂąmais en mille poses Et roucoulais des tas de choses Et moi, comme on savoure un fruit, Je te baisais Ă bouche pleine Un peu partout, mont, val ou plaine. J'Ă©tais d'une Ă©lasticitĂ©, D'un ressort vraiment admirable : Tudieu, quelle haleine et quel rable ! Et toi, chĂšre, de ton cĂŽtĂ©, Quel rable, quelle
l'amour fleurit et flĂ©trit, il est comme une fleur qui passe et trĂ©passe avec le ne dure qu'un instant, qu'un moment ; c'est ce qu'on dit, qu'il est Ă©phĂ©mĂšre, comme la vie, comme la pourtant, malgrĂ© ce moment si court durant lequel on aime, cela peut suffire Ă tuer ; et ça vous rend malade, d'aimer sans ĂȘtre aimĂ© en retour, et ça vous tue le coeur et l'Ăąme - avez envie de vous Ă©chapper, d'arrĂȘter ça, et c'est votre poitrine qui se gonfle, vos poumons qui s'emplissent ; et vous toussez, encore et ce sont des pĂ©tales de fleurs qui tombent lourdement sur le sol aoĂ»t 2022, hiver. staff Mar 16 AoĂ» - 2313un, deux, trois, soleilft. geronimo diavolotâentends pas vraiment le bus sâarrĂȘter, ni le brouhaha gĂ©nĂ©rĂ© par tous ceux qui se pressent de descendre, celle de geronimo uniquement, qui toute douce, te dit que vous ĂȘtes arrivĂ©e, quâil te rĂ©veille, comme prĂ©vu, comme promis. sa casquette plus quâĂ moitiĂ© sur ta tĂȘte, la couronne tombĂ©e avec le temps, comme lâalcool ayant quittĂ© tes veines, votre nuit de folies qui sâarrĂȘte, qui sâachĂšve et câest lâheure dâĂȘtre une adulte, maintenant. ça tâaccable un peu, parce que tâas pas envie, pas lâĂ©nergie, mais quâil le faut, pour toi, pour lui, pour cette journĂ©e qui sâannonce dĂ©jĂ bien compliquĂ©e. rappelle moi ce quâon fait lĂ ? vos courses toujours dans les mains, les yeux rivĂ©s sur lâĂ©glise en face de toi, que tu comprends pas ce que vous faites lĂ . une histoire dâaller bosser, mais vous faites pas la paire la plus pieuse, en tout cas tu fais bien basculer la balance et tu te sens pas trop Ă ta CampbellpaparazziMessages 74 Mer 17 AoĂ» - 1246 Doris D'assumer nos rĂȘves, d'en rĂ©colter la sĂšve pour les graver dans chaque mur de pierre Alors Ă ton tour ouvre les yeux, approche-toi et observe avec curiositĂ© Le jour se lĂšve et mĂȘme si ça brĂ»le les yeux on ouvrira grand nos paupiĂšres La tĂȘte de Perry est plus lĂ©gĂšre que les baudruches colorĂ©es des parcs dâattractions, le pĂ©tillant de la veille Ă du en Ă©vaporer les idĂ©es les plus lourdes, et Gero est un peu fier, dâĂȘtre un genre de gardien, sans clĂ©s, des traits dĂ©tendus par le sommeil. Il a attendu que les respirations sâallongent en notes Ă deux temps pour attraper son cellulaire, chercher, les lĂšvres nerveusement mordillĂ©s, lâactualitĂ© de la lutherie Evans, les images de son propriĂ©taire, en effleurer avec le pouce le cadre des lunettes sans parvenir Ă effacer les reflets qui mangent dans les iris, dommage, il faut quâil y retourne, câest viscĂ©ral, cette envie, juste limpide, qu'il est devenu stupide. Leur terminus freine, il vient chercher lâĂ©paule de la rousse, secoue avec douceur, et, Ă contre coeur, se rend coupable de la sortir de ce qui Ă©tait peut-ĂȘtre un rĂȘve, une Ă©vasion de ce vers quoi il lâ câest froid, lâessoufflement de la course les a quittĂ©s, Gero frictionne ses bras en jetant les yeux sur lâĂ©difice, des pierres, une croix et la foi, Ă genoux ou les yeux fermĂ©s, alors les doigts enroulent naturellement la croix argentĂ©e coincĂ©e sous le t-shirt. Ses Ă©paules haussent sur un rictus amusĂ©, le pack fait des chuintements plastifiĂ©s, la hanse mordue dans les trou de mĂ©moire Doris ? Moi, je vais bosser. Avec lâindex, il pointe lâĂ©chafaud que des collĂšgues ont dĂ©jĂ mis en place, les planches un peu usĂ©es qui font tomber des sciures de bois, et ça pique quand ça tombe dans les yeux, ça lui est dĂ©jĂ arrivĂ©. Toi, tu peux te recueillir. Jâai des piĂšces si tu veux une il ira sĂ»rement un peu plus tard, RaphaĂ«l en a besoin, lui, Ă dĂ©faut de pouvoir passer au centre aussi souvent quâil le voudrait, il peut faire ça, une flamme et les mains jointes, la piĂ©tĂ© câest un truc de Di, ça nâa jamais servi Ă rien, et c'est pas grave, la foi c'est pas fait pour ĂȘtre utile. Les pas avancent jusquâaux pieds de la structure, oĂč une ribambelle de cris tombent des Ă©tages, il rĂ©pond Ola et attrape le bleu de travail pliĂ© sous le dĂ©jeuner de Perry, ça coince sur les chevilles, lâoblige Ă dĂ©faire les lacets, sâasseoir dans lâherbe humide pour changer les fais quoi dans la vie Doris ? Tu Ă©tudies ? Les Ă©tudiants avec la vie oisive, ils arrivent parfois sur KâRoad, sâencanaillent dans des quartiers oĂč ils peuvent cĂ©der Ă l'excĂšs peu importe la taille du portefeuille, par contre, ils restent jamais longtemps, câest des prĂ©noms destinĂ©s Ă des plaques dorĂ©s, dans des petits bureaux oĂč Gero viendra un jour passer un coup de raclette. C y a l a n aGeronimo Diavololaveur de vitresMessages 37 Ven 19 AoĂ» - 1801un, deux, trois, soleilft. geronimo diavolotu tâen souviens, un peu, brides de conversations qui reviennent, quelques mots qui Ă©mergent, les dĂ©tails perdus dans le flot de lâalcool, mais tu hoches la tĂȘte, tu tâen souviens. nettoyer les vitres dâun Ă©glise ? tu trouves ça un peu injuste que ce soit Ă lui de sâen occuper, pas Ă eux, mais tu sais que câest comme ça que le monde fonctionne alors tu gardes ça pour toi, pas trĂšs bien placĂ©e pour parler de justice, de toute marquĂ©e de la tĂȘte, ce sera pour toi, aprĂšs, je suis pas croyante, câest bien loin de toi, tout ça. tâas jamais cru en quelque chose de plus grand, jamais cru en la providence. la foi loin du cĆur, loin de la tĂȘte, baignĂ©e dans le vice de lâargent depuis trop longtemps. peut-ĂȘtre que tu devrais, peut-ĂȘtre quâil tâapprendra Ă croire, un jour. pas certaine de ce que tu avances, mais tu te plais Ă prends des photos, moi, nĂ©mo. des photos des autres, des photos du monde. dit comme ça, câest Ă©lĂ©gant. lâoeil aiguisĂ©, habituĂ© Ă voir des choses que les autres ne voient pas. je cours aprĂšs les scandales, la misĂšre des autres, câest ça qui me fait vivre. la peur de le dĂ©cevoir au ventre, que tu fais ça parce que ça marche, parce que ça te rĂ©ussit et tâes forte pour ça, en plus. je prendrais des photos, aujourdâhui aussi, pour me souvenir cette fois-ci rĂȘve Ă©veillĂ©, souvenir que tu veux garder pour CampbellpaparazziMessages 74 Sam 20 AoĂ» - 317 Doris D'assumer nos rĂȘves, d'en rĂ©colter la sĂšve pour les graver dans chaque mur de pierre Alors Ă ton tour ouvre les yeux, approche-toi et observe avec curiositĂ© Le jour se lĂšve et mĂȘme si ça brĂ»le les yeux on ouvrira grand nos paupiĂšres Les pieds raclent dans la terre, le quadrillage des barres de fers est Ă lâextĂ©rieur du chantier, câest salissant comme travail, pourvu que ça ne la gĂšne pas, elle est comme sortie du dĂ©cor des nĂ©ons, Perry, sa chevelure rousse encore en friche de la veille. Geronimo laisse lâair frais le faire renifler, il pense Ă Jude, puis il oublie, parce que aujourdâhui encore il faut gainer le dos, soulever le seau, reprendre de lâeau. En dĂ©chirant le plastique pour soulever une bouteille, le menton acquise, les carreaux, ça fait un moment, on sây fait, câest juste dommage dâĂȘtre toujours dos au ciel, le spectateur de la vie des nâa pas la foi, et sa langue retrace lâarĂȘte des incisives lentement, vers qui se tourne-t-elle alors, quand le corridor Ă©troit de lâexistence sâassombrit, le sort, ça doit ĂȘtre douloureux de lâaffronter Doris. Tu viendras avec moi si tu veux. Câest calme Ă lâintĂ©rieur, je te prĂȘterais un sweat si tu veux tâallonger un peu. Encore une fois, il a du mal Ă rĂ©primer lâinquiĂ©tude quâelle soit fatiguĂ©e, peut-ĂȘtre Ă bout de force, ou bien juste ennuyĂ©e dâĂȘtre dans ses talons Ă lâautre bout d'Auckland. ConcentrĂ© sur les lacets quâil refait, la petite boucle dans la grande, deux fois, sinon ça tient mal, il Ă©coute Doris, Doris la photographe avec des centaines de clichĂ©s pour raconter des histoires, il aimerait les entendre, un jour, si elle veut bien. Câest un beau mĂ©tier photographe. La mĂ©moire câest tellement prĂ©cieux. La dentition Ă©claire le visage dâun flash de joie, et il pousse la terre avec les paumes pour ĂȘtre bien droit devant le rousse, les souvenirs, peut-ĂȘtre quelque chose qui Ă©chappe encore au troc de lâargent, comptent beaucoup Ă ses yeux. Tu ne manqueras jamais de travail alors, la misĂšre câest constant, peut-ĂȘtre plus que la bouffe. Il a saisi lâangoisse dans ls yeux, alors la main enroule sur lâĂ©paule, maladroitement, il frotte, ne saurait pas comment lui dire que peu importe la vie quâelle mĂšne, aprĂšs tout, le problĂšme, au dĂ©part, câest cette terre vrillĂ©e, pas les gens qui y naissent. Un sourire qui se veut rassurant brodĂ© en travers du visage, Gero glisse un pied sur le premier barrĂ© et dĂ©tend une main dans sa direction, il nâallait pas la laisser seule et puis la vie est plus belle quand on prend de la hauteur. Ca me fait plaisir Doris. Quâon ait des souvenirs ensemble. Viens. Tu vas voir, le coin est un coup de chance, la campagne dâAuckland des fois, câest franchement dĂ©solant, seulement par ici, Gero sâest dĂ©jĂ Ă©garĂ© et sait que lâhiver nâa pas esquintĂ© le sous bois, quâon distingue mĂȘme un Ă©levage de kangourous au loin, ça lui plaira, peut-ĂȘtre, en tout cas il lâespĂšre. Lâescalade se prolonge en tintements mĂ©talliques et Gero rend les accolades de MikaĂ«l et Fadi, deux gars sympas, taciturnes jusquâĂ leur du repas oĂč, câest vrai il ont lâhumour un peu gras, Gero pretextera quâils veulent manger ensemble pour sâĂ©clipser Ă ce moment les planches, de bois usĂ© attachĂ© Ă des gonds solides, il referme la main prĂšs de la taille sans appuyer, juste, il nây a pas de barriĂšre, du vent, et, câest plus fort que lui, il imagine toujours le pire. Lâautre bras se dĂ©tend pour englober lâhorizon avant de se plaquer en visiĂšre au-dessus des moins joli que les anĂ©mones et les tortues mais câest quand mĂȘme sympa non ? Pour un premier souvenir, peut-ĂȘtre pas la couverture de notre album mais je le verrais bien sur la deuxiĂšme page. C y a l a n aGeronimo Diavololaveur de vitresMessages 37 Sam 20 AoĂ» - 1457un, deux, trois, soleilft. geronimo diavololâinnocence qui te pince le coeur, le remord aussi, de lâavoir formulĂ© comme ça, de lâentendre te rĂ©pondre comme ça. quâest-ce que tâas bien pu faire, pour mĂ©riter quelquâun comme ça dans ta vie ? vĂ©ritable ange tombĂ© du ciel, geronimo qui tâapaise et tâangoisse, quâil a lâair fragile, votre lien, Ă tes yeux et tâas peur de tout perdre, de tomber de haut toi aussi. que la dĂ©ception lâemporte. tu pourrais dire non mais tu prĂ©fĂšres accepter, son aide, son pull, tout ce quâil peut tâoffrir, parce quâil est pas obligĂ© mais il le fait, sans rien en Ă©change. la douceur dans la voix, la dĂ©licatesse dans les gestes, tâas du mal Ă comprendre, Ă saisir vraiment dâoĂč ça vient, câest quâil a vraiment lâair tout droit sorti dâun film, ton nĂ©mo. câest joli, dit comme ça, merci de pas te juger, de pas prĂȘter tant dâattention que ça Ă ce que tu fais. de rester lĂ , avec toi. la montĂ©e vers le ciel plus compliquĂ©e quâil nây paraĂźt, le pied pas trĂšs assurĂ© alors que tu suis gero jusquâau bout, lâimpression de gĂȘner, toi qui nâa rien Ă faire lĂ , qui nâest lĂ que pour regarder, contempler, le labeur loin de toi, parce que tu te salis pas les mains, pas vraiment. tu fais des pauses, parfois, pour sortir ton tĂ©lĂ©phone et immortaliser lâinstant, gero un peu flou devant toi, les nuages en fond, le mĂ©tal qui balance. le monde vu dâen haut est bien diffĂ©rent de celui que tu connais, les possibilitĂ©s infinies, le paysage qui sâĂ©tend sans sâarrĂȘter lui non plus. ça me va trĂšs bien, comme couverture tous les deux face au monde, face Ă auckland, au clair du jour et plus au coeur de la nuit comme hier, une sensation de puissance Ă te trouver si haut, si libre, loin des contraintes du monde dâen bas, du monde rĂ©el, ici, tâas lâimpression de pouvoir ĂȘtre qui tu veux. tu dois voir plein de choses toi aussi, quand tâes tout en haut ici, ailleurs. oĂč alors tâas peut-ĂȘtre pas le temps⊠trop facile dâoublier que pour lui, câest son gagne pain, de monter les Ă©chafaudages, surement un supplice de rester face au soleil, toute la journĂ©e. lâappareil photo en mode portrait, la qualitĂ© qui ne vous rend pas justice, lâĂ©paule collĂ©e Ă celle de gero et vous voilĂ pour toujours dans ta mĂ©moire, immortalisĂ©s. je te lâenverrai, CampbellpaparazziMessages 74 Sam 20 AoĂ» - 1614 Doris D'assumer nos rĂȘves, d'en rĂ©colter la sĂšve pour les graver dans chaque mur de pierre Alors Ă ton tour ouvre les yeux, approche-toi et observe avec curiositĂ© Le jour se lĂšve et mĂȘme si ça brĂ»le les yeux on ouvrira grand nos paupiĂšres Quel soulagement quand câest facile, le chemin des syllabes qui trouvent un Ă©cho sur les traits harmonieux de Perry, Gero, sent le silence sâenvoler de sa cage, respire, lui aussi, lâangoisse sâest dissipĂ©e. Il avait un peu peur que tout ce qui les sĂ©pare, Ă commencer par lâargent, les empĂȘche de sa parler, ça aurait Ă©tĂ© comme crier Ă travers le vitrage triple Ă©paisseur, devant lequel, il a toujours lâimpression dâassister Ă un film muet. Doris, elle est pas comme ça, le Di se sent mieux de le savoir, ou bien câest juste la migraine enfin rĂ©duite Ă une virgule, un temps de latence entre deux gestes soigneux. Avec ses jolis chaussures, Gero lâimagine plus facilement dans ces restaurants Ă la devanture parmes et la lettrine dorĂ©e que sur les barreaux raides oĂč il lâentraĂźne, elle dit rien, alors, forcĂ©ment, il ose pas lâaider plus, elle a le droit dâavoir un peu de fiertĂ© Perry, et lui, il est personne pour la froisser. Lorsque la camĂ©ra enferme des clichĂ©s, Gero esquisse des sourires maladroits, comme sa mĂšre lui a appris, mĂȘme Ă lâĂ©poque oĂč il avait la gueule Ă©dentĂ©e et que la petite souris avait fini par rentrer en grĂšve. La charpente grince des rires lugubres que Gero nâentend plus, habituĂ© depuis le temps, Ă la carlingue lancinante, quâil monte et dĂ©monte, comme sâil Ă©tait le forum dâun spectacle sans autre mĂ©gaphone que lâĂ©cho du vide. Les arpĂšges de la voix de Perry sont un genre de pommade, une forme de croyance, et Gero en a le sang qui boue, fait des taches tomette en dessous des cernes. Câest vrai. Si elle le dit, ça devient dĂ©pend. En ville, câest rare que je monte assez haut pour voir autre chose que les façades. Il sâinterrompt, pour rĂ©flĂ©chir les yeux au coin des amandes, creuser les images de gratte-ciel oĂč culminent les enseignes de multinationales et parfois un polygone de ciel dĂ©fini par les contours gĂ©omĂ©trique, Gero sây perd, dans le dĂ©dale du capitalisme. Mais des fois quand câest assez haut, on est suspendu Ă des cordes et⊠Il hĂ©site, rougit, les yeux qui demandent la permission dâĂȘtre un mĂŽme. jâai un peu lâimpression dâĂȘtre comme Spiderman. Les yeux se dĂ©tournent, le poignet qui frotte en dessous du nez pour se donner une contenance, Spiderman, câĂ©tait son hĂ©ros, Ă lâĂ©poque oĂč câĂ©tait encore une ambition dâen devenir un et câest restĂ©, orgueil embarrassĂ©, de se consoler au bout des fils de nylon. Cette fois, la camĂ©ra change dâobjectif, reflĂšte leurs bouilles encore dĂ©confites de la veille, et, nerveusement, il rit, des Ă©clats sincĂšres avec des carillons dedans, pris au dĂ©pourvu, alors, cette expression lĂ , elle est authentique, comme la promesse de Perry Ă laquelle il hoche briĂšvement le La gratitude coupe le sifflet, Gero pince les lĂšvres avec les dents, grimace espiĂšgle en frottant la semelle sur le bois pour dissiper sa timiditĂ©, les grands garçons ça devrait pas sâĂ©mouvoir, Diego ferait siffler des claques par dessus les oreilles. Quand bien mĂȘme, il dĂ©zippe encore le sac, cherche Ă disposer le pack pour en faire un accoudoir le long de la façade oĂč il lui fait signe de sâasseoir, si elle veut. Lui, il faut quâil sây mette, lâeau savonneuse en rideau, lâĂ©ponge et ses bruits de succions, puis mĂ©caniquement la raclette qui alterne les passages pour faire disparaĂźtre lâĂ©cume Ă lâodeur de propre, avant de recommencer. Ca va pas prendre trop longtemps. Ils bossent bien les deux en bas aussi. On se pose aprĂšs ?Il enchaĂźne, le travail câest comme le reste, faut sây soumettre pour sâen libĂ©rer, les yeux et les outils plongent et lui il lave, en rĂȘvant de douche tiĂšde et des souvenirs de Jude, bercĂ© par le silence de la campagne, la prĂ©sence de Perry Ă deux pas. Evidemment, il est satisfait dâen terminer, dâaller gratter la pause pour flĂąner, et il a repĂ©rĂ© dans le chevauchement des pierres assez de prise pour dĂ©jeuner sur le toit, presque certain que Perry elle aimera bien, Ă cheval sur le zinc, si la mousse ne la dĂ©range pas. La hanse du sac passĂ© sur lâĂ©paule, Gero emmĂȘle les phalanges, le profil Ă la perpendiculaire du mur en montrant le sommet avec le mange lĂ haut ? Je te fais la courte Ă©chelle. La lueur tendre brille dans les iris et il lâattend, ne partira plus sans elle de toute maniĂšre, la conviction Ă©trange, que dĂ©sormais, ils sâattendront. C y a l a n aGeronimo Diavololaveur de vitresMessages 37 Dim 21 AoĂ» - 1830un, deux, trois, soleilft. geronimo diavolosilencieuse la plupart du temps, lâouvrage en guise de musique, les raclettes qui claquent contre les vitres, grincent quand il manque de produit, les souffles qui se font court, sous la chaleur, lâeffort. presque coupable de rester lĂ , Ă ne rien faire. le soleil qui embrasse ta peau, doucement, pendant que tu lâĂ©coutes parler de ses rĂȘves, de ses impressions. ça nous fait un point commun, alors parce que si lui explore le monde au bout des fils, comme spiderman, tu lâexplores Ă travers ta camĂ©ra, comme peter parker. deux faces dâune piĂšce, ça te fait sourire, fossettes qui se creusent dans tes nĂ©mo, tu retombes un peu en enfance. pas la tienne, celle dont tu as rĂȘvĂ© pendant des annĂ©es, celle qui te berçait, celle quâon te racontait. celle que tâas connue Ă travers un Ă©cran tĂ©lĂ©, celle qui est vĂ©cue dans une bulle de tendresse. le jugement absent, des deux cĂŽtĂ©s, la chance de vivre simplement, sans prise de tĂȘte et tâen oublierait presque ce que tu fais de tes journĂ©es, dâhabitude. geronimo qui tâaide Ă monter au sommet, Ă te hisser au-delĂ des autorisations, libre dâentrave, avant de te rejoindre, ton aide superflue, tes bras trop faible pour lâaider Ă monter, lui aussi. plastique arrachĂ©, un des sandwich que tu gardes pour toi, lâautre que tu lui tends, pour quâil mange lui aussi, quâil partage lâinstant avec toi, comme toi, parce quâici, vous ĂȘtes au mĂȘme niveau, ici, ses difficultĂ©s sont les tiennes, vice versa. point de dĂ©part dâune aventure plus grande que toi, plus grande que vous. tu sais, je maintiens mes propos, pour moi, câest ça la couverture de notre histoire deux adultes sur un toit, dans le flou dâune existence qui ne tient quâĂ un fil, avec comme seule compagnie lâautre et peut-ĂȘtre la foi dâun peu CampbellpaparazziMessages 74 Dim 21 AoĂ» - 2057 Doris D'assumer nos rĂȘves, d'en rĂ©colter la sĂšve pour les graver dans chaque mur de pierre Alors Ă ton tour ouvre les yeux, approche-toi et observe avec curiositĂ© Le jour se lĂšve et mĂȘme si ça brĂ»le les yeux on ouvrira grand nos paupiĂšres Elle est sage Perry, Ă peine une arpĂšge tendre pour souligner quâils se ressemblent, vivent Ă la frontiĂšre des clichĂ©s, et Gero ne peut ne pas lui donner tort, pas envie de toute maniĂšre et surtout aucune raison. Peut-ĂȘtre quâun jour il lui parlera des graffitis, les formes esquissĂ©es Ă la bombe, pas celles qui dĂ©noncent, pas comme ses tirages, mais un art qui se passent des mots pour Ă©mouvoir. Les doigts se dĂ©robent de l'outil pour appuyer lâascension de la rousse et gravir le dernier mĂštre, celui qui les sĂ©pare du clocher et la cĂźme du monde oĂč Geronimo oublie la fourmiliĂšre du quartier, un peu coupable, parfois. Le vent gifle ses joues, le soule dâune drĂŽle de façon qui nâa pas grand chose Ă voir avec la veille, et il dĂ©fait soigneusement lâaluminium autour de la tortilla aux Ćufs et au thon, Alma elle soufflerait de lassitude, c'est certain. Oui. Câest vrai quâil pourrait faire un effort. Si Perry et lui se revoient, câest promis, il utilisera le vieux set de couteaux quâon lui a offert Ă la fin de son apprentissage. Lâexpression contient un sourire, câest quâil voudrait pas que Perry voit les miettes coincĂ©s entre les gencives, et il y a la tendresse incrustĂ©e dans ses iris polaires. Geronimo voudrait dire des mots qu'il connaĂźt pas, touchĂ©, par elle, et c'est encore trop maladroit cette expression, y renonce. La tĂȘte balance une approbation lente lorsquâil essuie le bec du revers et balaye lâhorizon gluant de brume, presque mystique, comme Perry et lâĂ©popĂ©e que ses lĂšvres câest une histoire, il faut un titre. Gero froisse le papier argentĂ© en boule, avant de basculer les jambes en tailleur, une main sur le zinc, câest pour ne pas perdre lâĂ©quilibre, et se donner le temps de la rĂ©flexion. Un truc qui sonne comme Bonnie and Clyde. Ou bien le nom dâune ville. Jâaime bien les noms de ville mais jâen connais pas beaucoup. La langue lĂšche les babines, un brin gĂȘnĂ© Gero, quand il le dit, que ses connaissances sâarrĂȘtent sur la page du dernier manuel du primaire, et encore, le temps en a grignoter la plupart des caractĂšres. Oaxaca ? Une ville de son pays. C y a l a n aGeronimo Diavololaveur de vitresMessages 37 Dim 21 AoĂ» - 2303un, deux, trois, soleilft. geronimo diavolotu recherches, depuis ton tĂ©lĂ©phone, oaxaca et google te rĂ©vĂšle une ville haute en couleur, pleine de chaleur, lâallure ravissante, un peu hĂ©tĂ©roclite, carrĂ©ment pittoresque. comme vous. tâes fort, nĂ©mo, pour trouver des choses qui nous ressemblent lâesprit savant, lâimagination lĂ oĂč il faut. tu connais pas tout ça, toi, ta vie passĂ©e dans les rues dâauckland, Ă ne voir quâelles, Ă en oublier la beautĂ©, lâattrait et ça te fait rĂȘver un peu plus, de penser Ă tout ce que tu as Ă dĂ©couvrir. ça Ă lâair facile, avec lui Ă tes cĂŽtĂ©s. bonnie and clyde, ça peut ĂȘtre le titre du premier chapitre rencontre fortuite, au dĂ©tour de vos chemins respectifs, vos vies qui ont dĂ©cidĂ© de se croiser et de sâentrelacer, pour toujours on dirait. je trouve que ça sonne bien. la libertĂ© dâexplorer un destin diffĂ©rent du leur, de faire des choix diffĂ©rents, moins dangereux. de vivre des aventures totalement diffĂ©rentes, mais fondamentalement, tout aussi attrayantes, câest ça que tu espĂšres. repas terminĂ©, la digestion qui te rend lourde, faut que tu retournes travailler, maintenant ? je peux essayer de tâaider, si tu veux vaporiser le produit sur les vitres, câest Ă ta CampbellpaparazziMessages 74 Mar 23 AoĂ» - 2031 Doris D'assumer nos rĂȘves, d'en rĂ©colter la sĂšve pour les graver dans chaque mur de pierre Alors Ă ton tour ouvre les yeux, approche-toi et observe avec curiositĂ© Le jour se lĂšve et mĂȘme si ça brĂ»le les yeux on ouvrira grand nos paupiĂšres Sur la toiture sombre, il y a des petits pĂątĂ©s de sedum clairs et des insectes aux couleurs fadasses pour se fondre dans le dĂ©cor. Doris, sa spontanĂ©itĂ© plus criante que sa criniĂšre, inspire de la gaitĂ© dans le morne hivernal, aimante les yeux de Geronimo, son sourire aussi. Les doigts embrassĂ©s sur les emballages, ça le frappe comme le soleil dans la rĂ©tine, le plaisir de la rencontre, et, sans pouvoir se dĂ©tacher, ses amandes accrochent sur les vignettes de lâĂ©cran, les douceurs lovent dans ses oreilles en taquinant un orgueil maladroit, plus facile Ă ignorer qu'Ă assumer. PlutĂŽt que de rĂ©pondre, ses doigts s'agrippent sur les aspĂ©ritĂ©s de la surface pour se rapprocher et venir fixer avec elle les rues ensoleillĂ©es dont les Di ont emmenĂ© le souvenir dans leurs valises. Troublant comme ça le rend nostalgique, cette mĂ©moire qui nâest pas la sienne, au fond des tripes, Gero se sent polarisĂ© par sa terre natale, sans savoir pourquoi, comment, ça a tapissĂ© sa tĂȘte, lâamour de ses racines. Cette narration Ă deux voix que Perry lui offre plaĂźt, le Di balance lâĂ©paule contre la sienne, complice, et les iris diaphanes coulent avec espiĂšglerie. Oui. Le premier chapitre. Un livre qui nâa pas besoin de se lire ou de sâĂ©crire. Ăa lui ĂŽte un poids. Tu vas rire Doris. Tu seras la premiĂšre personne Ă mâavoir donnĂ© envie de lire le deuxiĂšme chapitre dâun bouquin. Le rire clair perce doucement la gorge, câest vrai que, de mĂ©moire, ça nâa jamais Ă©tĂ© son fort la lecture, pas plus la littĂ©rature que les paragraphes de son contrat. La Di remballe les ordures dans le sachet plastique, les miettes, câest sans importance, ce sera un banquet pour les volatiles qui passeront aprĂšs eux. Il devrait lui dire que ce nâest pas la peine, dĂ©cliner, et puis, la laisser vagabonder oĂč elle veut puisque, aprĂšs tout, Perry nâest pas rĂ©munĂ©rĂ©e. Seulement voilĂ , Gero, il veut pas lui dire non, lâavoir prĂšs de lui ça rend le boulot moins morose, et puis, la rousse lui a demandĂ©, donc ça ne doit pas dĂ©ranger tant que ça. Dâaccord, mais câest un peu ennuyeux alors si tâen as marre tu me le dis. Mais Gero, du fond du coeur, il espĂšre quâelle ne se lassera pas trop vite, du spray, de lui, et que des chapitres, on fera des livres dâimages, peut-ĂȘtre plusieurs tomes, ce serait bien. C y a l a n aGeronimo Diavololaveur de vitresMessages 37 Contenu sponsorisĂ© Sauter vers Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
DetrĂšs nombreux exemples de phrases traduites contenant "j'ai rĂȘvĂ© de toi cette nuit" â Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises.
Por Doriane Baker descoberto pelo Player FM e nossa comunidade - Os direitos autorais sĂŁo de propriedade do editor, nĂŁo do Player FM, e o ĂĄudio Ă© transmitido diretamente de seus servidores. Toque no botĂŁo Assinar para acompanhar as atualizaçÔes no Player FM, ou copie a feed URL em outros aplicativos de podcast. People love us! User reviews "Essa Ă© a melhor maneira de lidar com suas assinaturas. TambĂ©m Ă© uma Ăłtima forma de descobrir novos podcasts." â Assinar â Assinar â Assinado â Assinado Compartilhar Manage episode 307935840 series 2942897 Por Doriane Baker descoberto pelo Player FM e nossa comunidade - Os direitos autorais sĂŁo de propriedade do editor, nĂŁo do Player FM, e o ĂĄudio Ă© transmitido diretamente de seus servidores. Toque no botĂŁo Assinar para acompanhar as atualizaçÔes no Player FM, ou copie a feed URL em outros aplicativos de podcast. La parole, les conversations, fascinent depuis la nuit des temps. MĂȘme aujourdâhui, avec les Ă©volutions technologiques, la communication est la base de tout. La communication traverse le temps et lâespace comme outil indispensable pour crĂ©er des relations, sâexprimer, recevoir et aussi pour conversation est un outil de vente incroyable et il sâagit dâun outil customer care encore trop sous-estimĂ©. RĂ©cemment jâai dĂ©couvert que lâart dâutiliser la conversation pour vendre aux bonnes personnes se nommait le marketing conversationnel et je trouve ça magnifique !MĂȘme si jâutilise cette technique depuis longtemps et que je la maĂźtrise, je voulais apporter encore plus de valeur Ă cet Ă©pisode en invitant Pauline Sarda, adepte aussi du marketing conversationnel et qui lâenseigne Ă ses coachĂ©es. Dans cet Ă©pisode, tu dĂ©couvriras lâart et la maniĂšre dâutiliser cette stratĂ©gie customer care pour vendre en ligne et dĂ©velopper ton business sereinement.đLes notes de l'Ă©pisode ici.âïžQuel est le niveau de ton customer care ? Fais le quizz en 7 minutes et vois combien d'Ă©toiles dĂ©croches ton customer care ! C'est par-lĂ . đ§Abonne-toi au Podcast afin d'ĂȘtre notifiĂ©e des nouveaux Ă©pisodes.đSi mon podcast te plaĂźt, je t'invite Ă mettre une note et Ă laisser un avis.âĄïžRejoins-moi InstagramâĄïžOn se connecte sur LinkedInđ©đœâđ»Je suis Doriane Baker, Customer Care Expert. J'accompagne les entrepreneurs du web Ă utiliser la puissance du customer care pour booster leur business !Entrepreneure Care c'est le podcast qui prend soin des entrepreneures je partage avec toi des conseils et des ressources pour dĂ©velopper tes projets, ton customer care et ta vie d'entrepreneure en toute bienveillance. Tu auras le plaisir Ă©galement d'Ă©couter des interviews de femmes inspirantes ! đPour retrouver tous mes contenus, c'est par lĂ . 178 episĂłdios Ă Bem vindo ao Player FM! O Player FM procura na web por podcasts de alta qualidade para vocĂȘ curtir agora mesmo. Ă o melhor app de podcast e funciona no Android, iPhone e web. Inscreva-se para sincronizar as assinaturas entre os dispositivos. Player FM - Aplicativo de podcastFique off-line com o app Player FM !
Jai rĂȘvĂ© de toi. Recueil : Les sonnets et poĂ©sies (1851) Je t'ai revue, toi, en rĂȘve cette nuit, FraĂźche au milieu de fleurs toutes fanĂ©es, Comme au printemps de nos vertes annĂ©es ; Tes pas lĂ©gers ne faisaient aucun bruit. Tu Ă©tais lĂ comme au beau temps qui fuit,
Home » Poeme » poeme jâai reve de toi Vu sur j'ai rĂȘvĂ© de toi. auteur henrifrĂ©dĂ©ric amiel. extrait du poĂšme j'ai rĂȘvĂ© de toi, j'ai vu flotter dans l'air ta douce image. Vu sur dĂ©c. mon cher petit lion, j'ai rĂȘvĂ© de toi cette nuit un rĂȘve dont je n'aurais pas voulu sortir et auquel je me suis accrochĂ©e pour rester unVu sur j'ai rĂȘvĂ© de toi. ton image est restĂ©e gravĂ©e dans ma mĂ©moire. j'ai voulu t'Ă©chapper, te sortir de ma vie. mais partout oĂč je vais je ne pense Vu sur j'ai rĂȘvĂ© de toi cette nuit est un poĂšme de paul verlaine extrait du recueil chansons pour elle .Vu sur nuit, j'ai rĂȘvĂ© de toi la couleur de tes cheveux le regard de tes yeux qui m'amenaient vers les cieux. la forme de tes lĂšvres qui avaient Vu sur j'ai rĂȘvĂ© de toi from the story poĂšmes d'amour by helenew with nuit j'ai encor rĂȘvĂ© de toi. tu te tenais debout tout prĂšs de sur rĂȘve Ă©trange c'est mon anniversaire, nous avons un immense jardin et tout le monde est lĂ . le soleil est au rendezvous. je pense Ă toi qui Vu sur des citations reve de toi de cĂ©lĂ©britĂ©s, de films ou d'internautes et proverbes reve de toi classĂ©s par auteur j'ai tant rĂȘvĂ© de toi que tu perds ta sur j'ai tant rĂȘvĂ© de toi. que tu perds ta rĂ©alitĂ©. estil encore temps d'atteindre ce corps vivant. et de baiser sur cette bouche la naissance. de la voix Vu sur j'ai rĂȘvĂ© de toi cette nuit. la bibliothĂšque libre. et toi, chĂšre, de ton cĂŽtĂ©, quel rable catĂ©gories textes validĂ©s poĂšmes de paul verlaine Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu et les annonces, d'offrir des fonctionnalitĂ©s relatives aux mĂ©dias sociaux et d'analyser notre trafic. Nous partageons Ă©galement des informations sur l'utilisation de notre site avec nos partenaires de mĂ©dias sociaux, de publicitĂ© et d'analyse, qui peuvent combiner celles-ci avec d'autres informations que vous leur avez fournies ou qu'ils ont collectĂ©es lors de votre utilisation de leurs services. Vous consentez Ă nos cookies si vous continuez Ă utiliser notre site vos cookies
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j ai rĂȘvĂ© de toi cette nuit